Les professionnels savent que les patients, aux prises avec une maladie chronique ou une maladie en phase terminale, confrontent la maladie de différentes façons. Ce mode de confrontation a un impact direct sur la maladie. Certains patients considèrent la maladie comme une punition, un ennemi juré, voire une perdition, d’autres la voient plutôt comme une recherche de sens à l’existence, un défi, une occasion d’améliorer des liens sociaux. Une chose est sûre, des expressions extrêmement négatives comme l’auto-accusation, le désespoir, la colère, parfois l’isolement volontaire de la société sont des pensées récurrentes chez les patients.
Selon les thérapeutes, il existe également des facteurs de détresses qui se greffent, tels que la confrontation à la maladie de l’environnement proche du patient. En effet, la maladie chronique ou terminale s’accompagne parfois de problèmes familiaux ou sociaux dans les établissements d’enseignement pouvant entraîner des difficultés émotionnelles et sociales, tant pour le patient, pour son soignant que pour les membres de sa famille immédiate.
Chez « Narguich » nous invitons chaque personne où qu’elle se trouve, si elle est malade, si elle est membre de la famille d’une personne en difficulté, à venir chercher les outils nécessaires pour gérer positivement les émotions et les difficultés afin d’améliorer le quotidien du patient chronique et d’éviter le sentiment de solitude. L’aide fournie par Narguich est chaleureuse et individuelle, elle encourage l’intériorisation, pour que la maladie soit vécue avec le moins de douleur possible.
