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« Narguich » pour les victimes du monde virtuel - réseaux sociaux

L’addiction aux écrans et aux contenus virtuels est un phénomène social et culturel. Le besoin de faire partie d’une société particulière nous est inhérent en tant que créatures sociales qui pensent qu’en se connectant avec les autres, par le biais de la communication virtuelle, ils pourront créer des liens sociaux réalistes et significatifs. En pratique, dans la plupart des cas, c’est exactement le contraire qui se produit. Les thérapeutes constatent une solitude qui conduit à une dépendance virtuelle, après quoi les utilisateurs développent également une dépression, une anxiété générale, une anxiété sociale, des difficultés d’adaptation, etc.

Les enfants et les adolescents parlent des nuisances du monde virtuel qui sortent de l’écran et entravent leur mode de vie, dans le monde réel. Un boycott via les réseaux sociaux, par exemple, le harcèlement physique ou émotionnel, voire la violence directe. Les enfants et les jeunes qui souffrent de difficultés sociales courent un risque accru de subir un tel préjudice virtuel. Les violences virtuelles sont souvent plus graves qu’une violence au sein de l’école, car l’enfant est en contact permanent avec son ordinateur et se trouve exposé à tout moment de son existence au contenu offensant.

En tant qu’organisation qui traite les dépendances, nous invitons chaque individu, quel que soit son âge ou sa situation personnelle, qui s’est perdu dans un monde virtuel, à venir prendre les outils nécessaires pour faire face sainement à une situation qui les dépasse et pour atténuer le sentiment de manque éprouvé lors de la déconnexion au monde virtuel. Le renforcement de la personnalité et de la sociabilité, l’estime de soi contribuent à soulager les sentiments sévères de perte, de dépression, lorsque l’on cherche à se déconnecter pour se délivrer des dommages causés par les abus dans le monde virtuel. Notre mission est d’améliorer la qualité de vie de ces individus et celle de leurs proches.

Questions et réponses

Vous appelez le centre d’appel national du centre d’assistance Nargish pour prendre un premier rendez-vous, qui, dans le langage professionnel, s’appelle « entretien de prise en charge ». Ce rendez-vous sera organisé à la convenance du patient/de la patiente dans l’un des centres d’assistance répartis dans tout Israël, selon celui qui lui convient le mieux géographiquement, ou à distance (via Zoom). Mais cela ne signifie pas que les prochains rendez-vous hebdomadaires se tiendront au même jour et à la même heure que ceux qui ont été fixés lors du premier rendez-vous. Lors de cet entretien, le patient fait part de ce qui nuit à sa qualité de vie et quels sont les sujets qui le tourmentent en particulier. Ensuite on esquisse la direction à prendre, chacun peut faire part de ses attentes vis-à-vis de l’autre concernant les prochains rendez-vous. Parfois le thérapeute qui aura la charge du patient est désigné à ce stade, en fonction du contenu de l’échange qui a eu lieu lors de l’entretien (psychologue, psychothérapeute, travailleur social clinicien, art-thérapeute, et parfois même médecin).

Il est important de préciser qu’il ne s’agit pas d’un entretien d’admission ou d’une discussion amicale informelle, mais que ce rendez-vous inclut déjà une composante thérapeutique qui peut éventuellement accompagner les autres rendez-vous.

Dans les centres d’assistance Nargish tous les professionnels de la santé mentale et émotionnelle dont on peut avoir besoin se tiennent à la disposition des patients, à commencer par les psychologues, les psychologues cliniciens, les psychothérapeutes, les travailleurs sociaux cliniciens, en passant par les art-thérapeutes, les musicothérapeutes et les thérapeutes ayant recours à l’expression, jusqu’aux thérapeutes de famille et même les médecins. Tous les thérapeutes de chacun des centres d’assistance de Nargish sont titulaires d’au moins une maîtrise et doivent également passer devant un comité d’admission.

Le coût de chaque rendez-vous est égal, voire significativement inférieur aux prix pratiqués sur le marché (279 NIS pour une personne, 299 NIS pour un couple). De cette façon, Nargish neutralise tout intérêt commercial et peut se concentrer sur l’efficacité des rendez-vous en question et sur la contribution significative qu’il apporte aux patients.

La première fois, on se pose toujours la question personnelle et intime suivante : est-ce le bon moment pour moi de me faire aider par quelqu’un, pour essayer d’améliorer par moi-même ma qualité de vie et pour affronter tous les événements qui se sont produits, même s’ils étaient fortuits et ponctuels ? Mais la dure vérité, c’est que les gens essaient d’affronter, volontairement ou non, des cas ou des événements qui se sont produits dans leur vie, ou dont ils ont été témoins, et qu’ils n’ont pas vraiment la force ni les outils émotionnels nécessaires pour y faire face et soulager leur propre souffrance. Ainsi, les patients du centre d’assistance Nargish ne devraient pas « y réfléchir à deux fois », ils sont invités à venir simplement essayer, sachant qu’il est important de noter que selon sa politique, le centre d’assistance s’engage à fixer un rendez-vous préliminaire, dans un délai d’environ une semaine, à partir du jour où le patient s’est adressé au centre pour la première fois, qui sera immédiatement suivi d’une succession de rendez-vous qui débuteront dans un délai d’une semaine environ.

Non. Il n’y a aucune obligation financière. Le paiement, qui s’élève à seulement 279 NIS par séance pour une personne, et à 299 NIS pour un couple, s’effectue à la fin de chaque séance. Il n’y a pas de limite au nombre de rendez-vous ni d’engagement minimum pour un certain nombre de rendez-vous. Mais bien entendu, pour que le patient puisse pleinement bénéficier du processus, il faut que celui-ci se mobilise dans une certaine mesure, voire qu’il fasse preuve d’une certaine motivation à affronter tel ou tel événement. Et bien entendu, les problèmes ne se règlent pas en une seule séance.

Aujourd’hui déjà, certains clients se rendent depuis plusieurs mois dans les centres répartis sur tout le territoire national ou font des séances à distance (par Zoom), chaque semaine, en continu, et parfois certains demandent à faire une pause ou à espacer les rencontres. Mais au final, non seulement ils reviennent tous profiter de l’aide offerte par les services du centre d’assistance Nargish, mais encore, ils le recommandent aux membres de leur famille, voire à leurs amis et connaissances.

Vous avez parfaitement compris. Le centre d’assistance Nargish existe déjà depuis plusieurs années et ambitionne d’être le principal organisme en Israël ciblant la guérison et le rétablissement des personnes souffrant du Covid long et de leurs familles, ainsi que d’autres populations ayant besoin d’un soutien psychologique, même sans aucun lien avec l’épidémie de Corona, comme les victimes de la guerre d’octobre 2023, entre autres.

L’un des thérapeutes du centre d’assistance Nargish raconte qu’il travaillait dans une certaine caisse de santé. Là-bas, il s’est avéré qu’un patient qui s’était adressé à lui à propos de troubles émotionnels devait attendre au moins six mois pour obtenir un entretien préliminaire (de prise en charge) et près de deux ans pour véritablement commencer les séances de thérapie. Comme nous l’avons déjà mentionné, les patients du centre d’assistance Nargish ne devraient pas « y réfléchir à deux fois », ils sont invités à venir simplement essayer, sachant qu’il est important de noter que selon sa politique, le centre d’assistance s’engage à fixer un rendez-vous préliminaire, dans un délai d’environ une semaine, à partir du jour où le patient s’est adressé au centre pour la première fois, qui sera immédiatement suivi d’une succession de rendez-vous qui débuteront dans un délai d’une semaine environ.

Il est également important de souligner que le centre d’aide Nargish entretient d’étroites collaborations avec des organismes institutionnels, des municipalités ou encore des hôpitaux, le principal d’entre eux étant le centre de pédiatrie israélien Schneider.